djinn

Par Christophe L.

Djinn

Les Djinn sont des créatures qui furent crées à partir du feu, du feu sans fumée. De ce fait ces derniers présentent d’énormes différences avec un être humain. D’après quelques indications notées sur le Coran, on peut savoir que les Djinn sont nés bien avant l’homme.

On peut aussi comprendre que ceux-ci vivent à nos côtés, jour et nuit qu’ils sont présents quoi que, certains préfèrent s’enfuir et élisent demeure dans des endroits éloignés des habitations des hommes, notamment les déserts, terrains vagues, ruines, cimetières… Ceci explique certains dires, dans lesquels on retrouve les djinns demeurant dans les poubelles, endroits qui répugnent l’homme. Mais attention ceci ne serait valable que pour une partie de la population djinn, il existe une autre partie qui préfère la compagnie humaine, et logeraient dans les rideaux… Quant à savoir de quoi se nourrit un djinn, les réponses divergent, certains affirment qu’ils n’ont aucun besoin de s’alimenter, d’autres qu’ils mangent tout comme l’être humain et d’autres encore pensent qu’ils se nourrissent d’os et excréments.

Les djinn dans le Coran et la tradition islamique

  • Les djinn sont mentionnés dans le Coran, avec une Surah (chapitre) entière, la Surah Al-Jinn, qui leur est dédiée. Ils sont décrits comme étant créés d’une « flamme sans fumée » et sont souvent associés à des capacités de métamorphose, capables de prendre différentes formes telles que celles d’animaux ou d’êtres humains.
  • Le Coran et les traditions islamiques reconnaissent que les Djinn, tout comme les êtres humains, ont le libre arbitre et peuvent choisir entre le bien et le mal. Ils sont considérés comme des entités ayant une existence propre, capables de relations et d’interactions avec les humains.

Azazel/Iblis et les djinn

  • Dans la tradition islamique, Iblis (un autre nom pour Satan) est souvent considéré comme un Djinn qui a refusé de se prosterner devant Adam, devenant ainsi l’ennemi de l’humanité. Cela a conduit à sa chute et à son rôle en tant que leader des Djinn malveillants.

Les types de djinn

  • Les Djinn sont variés dans leurs apparences et leurs natures. Par exemple, le Ghul est décrit comme un type de Djinn mangeur d’hommes, qui aime prendre des formes terrifiantes et habite dans les lieux désolés comme les déserts et les ruines. D’autres Djinn peuvent être bienveillants ou neutres vis-à-vis des humains.

Reconnaître un Djinn

Selon le Coran, les djinns se changent en formes et objets différents autant de fois qu’ils le souhaitent. Tantôt, ils ont une forme humaine et tantot une forme animale, le plus souvent, ils se métamorphosent en scorpion, en vache, en oiseau ou encore en serpent, mais le plus souvent en chat noir, car celui- ci évoque le diable. Voilà la raison pour laquelle on ne verra jamais un Djinn, il se cache sous des masques aux apparences anodines.

Le djinn ne choisi que, peu de fois, la forme humaine, car s’il devient être humain, ils se trouve vulnérable, car son nouveau statut corporel obéi aux lois de la nature, on peut le voir, le tuer…

Les croyances autour des Djinn incluent des pratiques visant à se protéger de leur influence malveillante. Les amulettes et les prières sont souvent utilisées dans ce but. De plus, les exorcismes et d’autres rituels sont parfois pratiqués pour se débarrasser des Djinn nuisibles.

Que nous veulent les djinns

À cette question n’existe pas de réponse concrète, lorsque l’on croit que ces créatures étaient là bien avant nous, on pourrait aussi se demander pourquoi nous sommes venus les déranger ?

Le djinn nous fait peur, car ceci paraît irréel et déconcerte plus d’un, voilà pourquoi le djinn sourit. Un peu comme s’il jouait avec les nerfs humains, afin de nous laisser dans une détresse totale, et cela semble être l’arme principale de tous les djinns.

Alors que la représentation des Djinn dans les médias et la culture populaire varie grandement, ils ont souvent été dépeints comme des êtres puissants capables d’exaucer des vœux. Cependant, dans de nombreuses traditions, les Djinn sont considérés comme des entités complexes, ni entièrement bonnes ni entièrement mauvaises.

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