8 légendes urbaines japonaises

Voici un rapide tour sur les légendes urbaines japonaises.

Il existe pléthore de légendes de ce genre au japon, nous y reviendront prochainement, nous tenterons par la même de revenir sur la genèse de ces histoires pour faire peur…

Kuchisake-onna

Kuchisake-onna

La légende de la femme à la bouche fendue (Kuchisake-onna) est destinée à faire peur aux enfants d’être dehors à la nuit tombée. Selon l’histoire, une femme portant un masque chirurgical (courant en Asie et surtout au Japon pour éviter de contaminer le reste de la population) va demander à un enfant qui se promène seul la nuit si il l’a trouve jolie. S’il répond non, elle lui fend la bouche ou le tue. S’il répond oui, elle ôte son masque et lui redemande. Si il répond encore une fois par l’affirmative, elle le suit jusqu’à chez lui et le tue sur le seuil de la porte. Rencontre fatale sans issue. Une autre légende raconte que si l’enfant répond qu’elle est jolie une seconde fois, elle lui offre un gros rubis rouge et s’en va…

Teke-Teke

Teke_Teke

Teke-Teke est la légende d’une femme qui s’est suicidé en sautant sur les rails du métro, découpée par un train. Devenue esprit vengeur, la légende raconte que sa moitié supérieure à l’état d’entité rode autour des gens, se trainant et se tractant avec l’appui de ses bras.

Hanako-san

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Cette légende urbaine très populaire au Japon raconte que l’esprit de « Mademoiselle Hanako » hante les toilettes des écoles japonaises. L’histoire raconte qu’elle hante les troisièmes toilettes des troisièmes étages des établissements scolaires. Dans la majorité des cas, Hanako San ne s’attaquerait pas gratuitement aux écoliers à condition que ceux-ci ne la croisent ou ne la provoquent. Lorsque l’on veut utiliser les toilettes, il faut au préalable toquer à la porte et demander : « Es-tu là Hanako San ? » si une voix émane et répond « oui je suis là », il vaut mieux ne pas ouvrir la porte…

Gozu – Tête de vache

cow-head

Cette légende terrifiante raconte qu’un livre découvert il y a 4 siècles, serait maudit, il est d’ailleurs également convenu qu’il ne faut pas évoquer cette légende. Toute personne qui lit ou entend cette courte histoire peut devenir fou. La légende autour de cette histoire raconte que tous les exemplaires ont été brulés.

Gashadokuro

gashu

Cette histoire comme Kuchisake-onna tourne autour de la peur du soir et des dangers à sortir dès la nuit tombée. La légende raconte qu’un squelette immense suit les individus jusqu’à chez eux, sonne à la porte et une fois le son de la sonnette arrivé aux oreilles, il est déjà trop tard, le Gashdokuro est déjà au dessus de leurs têtes.

Nure-onna

demon-serpent-japon

La légende de la femme serpent repose sur la noyade d’une jeune fille. Tenter de la sauver, la personne se voit avaler tout entier par la jeune fille devenue serpent géant… Une légende qui invite à ne pas essayer de sauver une personne qui se noie… Sic.

Aka Manto

aka-manto

La légende de la cape rouge est une autre histoire se situant dans une salle de bains. Lorsque vous êtes assis sur les toilettes, une voix vous demande si vous préférez une cape rouge ou bleue. Si vous répondez « rouge », vous serez tué et serez entièrement recouvert par votre propre sang… Si vous répondez « bleue », vous serez étranglé à mort. Autrement dit, il est déjà trop tard.

L’enfer de Tomino

tomino

Cette légende urbaine repose sur un poème “L’Enfer de Tomino” une poésie maudite de Yomota Inuhiko. La prudence invite le lecteur à ne pas lire ce poème à haute voix sous peine que des événements tragiques ne lui arrivent.

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